Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Alternative Radio

Top 30 2017

 

1) Nine Inch Nails : "the fragile, deviations 1"

Version totalement instrumentale et légèrement remaniée de "the fragile", "deviations 1" est un monument d'électro indus dantesque de plus de 2h30. (lire l'article)

 

2) Avec Le Soleil Sortant De Sa Bouche : "pas pire pop, I love you so much"

Les canadiens nous offrent une longue transe mêlant afro-beat, post-punk et krautrock, un peu comme si Fela Kuti tapait le boeuf avec Can. (lire l'article)

 

3) Melanie De Biasio : "lilies"

La chanteuse/flutiste confirme avec son 3e album tout le bien que l'on pensait d'elle avec son jazz downtempo sublime, délicat et intimiste. (lire l'article)

 

 

4) King Gizzard & The Lizard Wizard : "flying microtonal banana"

Premier des 5 albums sortis cette année, "flying microtonal banana" est aussi le plus réussi avec son rock progressif épique teinté de sonorités orientales. (lire l'article)

 

5) Dale Cooper Quartet & The Dictaphones : "astrild astrild"

Les brestois distillent un spectre sonore fascinant et mystérieux qui nous plongent dans l'univers mysterieux de la "black lodge". (lire l'article)

 

 

6) Api Uiz : "peplum"

Les bordelais nous invitent avec "peplum" à une transe bancale et cartoonesque avec leur math-rock baroque et tropical. (lire l'article) 

 

 

7) Group Doueh & Cheveu :"dakhla sahara session"

Rencontre pour le moins étrange, l'univers barré des français se mêle avec bonheur aux sonorités touaregs des sahraouies et explosent ainsi toutes les conventions. (lire l'article)

 

8) James Holden & The Animal Spirits : "the animal spirits"

En faisant se côtoyer jazz, électro, krautrock et psychédélisme, James Holden & The Animal Spirits ont abouti à une délicieuse mixture céleste et extatique. (lire l'article) 

 

9) Cannibale : "no mercy for love"

Le garage-rock coloré, mélodique et psychédélique de Cannibale est une véritable bouffée d'air frais dans le petit monde du garage-rock. (lire l'article)

 

 

10) Julie's haircut : invoction and ritual dance of my demon twin"

Ambiances vaporeuses, lignes de basse hypnotiques, saxophone jazzy, claviers cosmiques, guitares baveuses, tout les éléments sont ici réunis pour une exploration sonore hallucinogène. (lire l'article)

 

11) Cummi Flu / Raz Ohara : "y"

Petit délice d'électronica ethnique et psychédélique, "y" est un disque hypnotisant et intriguant aux sonorités organiques ensorcelantes. (lire l'article)

 

 

12) Endless Boogie : "vibe killer"

Avec ses guitares baveuses et cette voix rocailleuse, Endless Boogie donne dans le heavy blues extatique et poisseux qui ravive la mémoire de Captain Beefheart. (lire l'article)

 

13) Black Flower : "artifacts"

Ce quintet belge plonge son ethio-jazz dans un bain de psychédélisme, de groove et de dub pour un résultat ennivrant.

 

 

14) Tu Brüles Mon Esprit : "master serie"

Le quatuor détricote des tubes de Johnny, Joe et Eddie et en proposent une refonte krautrock psychédélique tout simplement jouissive (lire l'article)

 

 

15) Oiseaux Tempête : "al-an"

Oiseaux Tempête clôture sa trilogie méditerranéenne en allant puiser son inspiration au Liban et nous livre leur oeuvre la plus ambitieuse et la plus aboutie. (lire l'article)

 

16) The Heliocentrics : "a world of masks"

Ce nouvel album du collectif londonien propose une foisonnante et passionnante mixture sonore où s'entrecroisent jazz, soul, trip-hop, afro, psychédélisme, funk et relents krautrock. (lire l'article)

 

17) Utro : "third album"

Ce projet parallèle des membres de Motorama délivre un post-punk aventureux et passionnant qui mériterait la même reconnaissance que leur formation principale. (lire l'article)

 

18) William Z Villain : "s/t"

Entre atmosphères intrigantes digne d'une b.o. d'un film de David Lynch, influences caribéennes, ballades poignantes et rock barré, William Z Villain a tissé un premier album fascinant et ensorcelant. (lire l'article)

 

19) King Gizzard & The Lizard Wizard : polygondwanaland

Pour cette 4e livraison de l'année, les australiens flirtent avec le rock progressif et livrent leur oeuvre la plus la complexe.

 

 

20) Here Lies Man : "s/t"

Here Lies Man mélange les univers de Black Sabbath et de Fela Kuti pour une fusion inédite qui fonctionne à 100%. (lire l'article)

 

 

21) Bror Gunnar Jansson : "and the great unknown part II"

Le blues du one-man band suédois  s'enrichit de nouvelles sonorités avec ce troisième album en puisant dans des influences cubaines, mariachi, et en lorgnant vers des sonorités très Tom Waits.

 

22) The Como Mama : "move upstairs"

Nourries aux sons du gospel et des negro spirituals, ce trio du Mississippi a sortie un disque de gospel-soul roots et intemporel.

 

 

23) Thurston Moore : "rock'n'roll consciousness"

A presque 60 ans, L'ex Sonic Youth continue sa carrière solo avec une classe immuable et livre ici son disque solo peut être le plus abouti.

 

 

24) King Biscuit : "well, well, well"

En agrémentant son blues du delta du Mississippi d'une certaine urgence issue du rock et en puisant dans la culture africaine, "well, well, well"  de King Biscuit est une nouvelle preuve de la bonne santé du blues-rock hexagonale. (lire l'article)

 

25) Thomas Schoeffler Jr. : "the hunter"

Avec "the hunter", Thomas Schoeffler Jr. élargit avec talent sa palette sonore, tout en continuant à creuser son sillon, quelque part entre le country-trash de Scott H. Biram et l'univers messianique de David Eugene Edwards. (lire l'article)

26) King Gizzard & The Lizard Wizard : "gumboot soup"

Après 4 albums concepts, les australiens clôturent leur folle année avec un disque patchwork, le plus léger et le plus fun de cette fournée 2017. (lire l'article)

 

27) Thor & Friends : "the subversive nature of kindness"

Thor Harris et ses "amis" nous ont concocté un disque méditatif et poétique, faisant écho à Moondog et au minimalisme musical de Steve Reich et de Terry Riley. (lire l'article)

 

28) Sundays & Cybele : chaos & systems

Moins explosif que par le passé, les japonais continuent tout de même d'explorer avec brio une combinaison à base de krautrock, de psydélisme et de folklore japonais.

 

29) Meyhem Lauren & Dj Muggs : "gems from the equinox"

Epaulés par un casting d'invité XXL, les deux compères livrent onze tracks fats et efficaces. (lire l'article)

 

 

30) Strup : "space is the place"

Les Rennais proposent un voyage à base d'électro rock 90's, de trip-hop et psychédélisme pour un trip cosmique rétro-futuriste. (lire l'article)

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
NIN 1e :-)... et c'est bien mérité. Je l'ai déjà écouté plusieurs fois maintenant... et d'ailleurs, j'arrête plus de l’écouter... sans jamais m'amuser à zapper entre les morceaux. Vraiment c'est du lourd, et le travail sur certain morceau est juste impressionnant... "La mer" en version jazzy, j'adore... on passe d'un morceau à l'autre avec chaque fois une identité propre à chaque titre... y'a rien à jeter... c'est vraiment une super idée d'avoir fait ce travail et de le proposer. Respect !
Répondre
A
je n'ai pas réécouter l'original depuis un bail mais je crois que les retouches sont légères. En tout cas, merci à Trent Reznor d'avoir proposé cette version alternative qui surclasse largement l'originale
A
ho oui... j'ai même du mal à croire que les accompagnements soient tous aussi travaillés... Si c'est le cas, c'est assez dingue que le chant masque à ce point tout ça ! Ou alors, ils ont quand même tout retravaillé à fond, ce qui me paraitrait plus probable. De toute façon, c'est vraiment impressionnant.
A
cool, tu as bien fait de persévérer! Au bout d'un moment, on oublie totalement qu'il y avait du chant à la base, et c'est là que le disque prend toute son ampleur.